Photographies
Les Curiosités
Etudes et recherches photographiques en cours,
les Curiosités s’organisent en trois séries :
« Les Z’Ailés » : expérimentation colorimétrique.
« Paris en Auge » : photomontage couleur et N&B.
« Les Féériques » : variations chromatiques.
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La Calonne
Depuis sa source jusque la Touques, suivre le fil de l’eau de la Calonne, et percevoir couleurs et lignes d’un doux paysage. Renaissance !
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Les couleurs de la nuit
La nuit recèle un monde invisible, imperceptible à l’oeil nu… Au coeur de l’obscurité, on entre dans un monde indicible, impalpable, dont les contours sont souvent oniriques. Les espaces paraissent infinis. En pose longue, la nuit devient image, habitée de couleurs inouïes.
Ainsi s’origine cette nouvelle expérience ; studio en plein air, avec pour spots les étoiles. Je me laisse envahir par cette présence au monde si particulière.
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In situ
Exploration des couleurs du crépuscule, en un lieu précis : l’espace naturel de l’estuaire du Frémur, frontière maritime entre l’Ille-et-Vilaine et les Côtes d’Armor.
Revenir en un même lieu, une même heure : variations des couleurs à l’orée de la nuit, au gré des marées.
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En scène – Le chantier
De mars 2015 à septembre 2017, les équipes des différents corps de métier se succèdent sur le site, apportant leur savoir-faire à la réalisation de l’édifice. Je les rejoins régulièrement, et assiste ainsi à l’évolution de la construction.
Peu à peu, la silhouette du bâtiment se dessine ; formes, équilibres, textures et matières se profilent en clair-obscur ou en pleine lumière, telle la scène d’un théâtre aux décors de fer, verre et béton.
Quelques chiffres : Durée du chantier : 28 mois – Présence : 80 jours – 1960 photographies versées aux Archives de la Ville.
Ici, une sélection de 9 photographies de l’architecture, des fondations aux finitions.
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En scène – Les compagnons
De mars 2015 à juillet 2017, je suis venue sur le chantier, chaque mois, capter l’évolution des travaux… Au total, 80 jours de présence photographique !
Traversant les saisons, des fondations aux finitions, je rencontre ainsi les « compagnons » qui œuvrent le plus souvent en silence. Dans leurs mouvements, leurs gestes, leurs efforts denses et souvent répétés, les hommes se révèlent – parfois dans leur fragilité.
Telle une mise en scène, je photographie ces hommes, ces femmes, et cherche à mettre en lumière le travail d’équipe, le respect mutuel, l’écoute…
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En scène – L’insolite
A réception de la mission de suivi photographique d’un chantier, je me sens l’âme d’une aventurière : ma feuille de route est une « carte blanche » !
Peu à peu, la silhouette du bâtiment se dessine ; formes, équilibres, textures et matières se profilent en clair-obscur et en pleine lumière…
Alors je laisse libre place à mon imaginaire et surprends la poésie d’un environnement – le chantier de construction – qui paraît en être dépourvu, a priori.
Cette sélection de photographies ne se veut pas reportage, mais davantage le reflet de ma vision esthétique et poétique du chantier.
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Frontières
Appréhender les frontières dans une approche esthétique et poétique.
Terres, contrées, pays… aux contours esquissés.
Passages étroits, suggérés ou obstrués…
Empreintes végétales, frontières imaginaires.
Abstractions d’eau, de verre et de béton.
Un trait de lumière se balance à l’obscur…
Les âmes sont de passage.
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Déserts – Les paysages
Ces photographies ont été réalisées lors de plusieurs voyages dans le désert du Grand Erg oriental, aux confins de la Tunisie, Libye et Algérie.
L’ensemble de la collection « Déserts » a fait l’objet de l’édition de deux livres : voir ici
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Déserts – L’esthétique
A l’approche de la nuit, le soleil décline rapidement et met en contraste intense les reliefs des sculptures du vent sur le sable des dunes. L’esthétique graphique du détail crée un nouvel imaginaire propice à des voyages plus intimes.
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Déserts – Les rencontres
Marche. Reliance. Hors du temps… La pensée se fond au creux de l’ombre. Nomade, le grain de sable efface la trace.
L’eau, le bois… Essences d’essentiel. Gestes sans âge. Déjà, à l’infini, la nuit tend sa toile d’étoiles.
Saluer un bédouin. De voyage en voyage, la rencontre s’autorise : « Qui es tu toi qui reviens ? »
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Tête en l’air
Quelques esquisses nuageuses singulières, observées aux équinoxes.
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Allégorie citadine
Avec inspiration et hardiesse, les pharaons du XXIe siècle bâtissent des déserts de béton et de verre d’une esthétique surprenante. Volumes et surfaces se juxtaposent ou s’interfèrent pour séduire ombres, lumières et reflets. Dans une solitude apparente extrême, l’homme entre alors en scène et, assis ou debout, il offre sa fascinante fragilité.
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Jardins de l’estran
Les photographies de cette collection ont été réalisées à basse mer, de Saint-Cast – côte nord de la Bretagne – à Vains – porte de la Normandie, à l’est du Mont-Saint-Michel.
En « cultures » traditionnelles ou modernes, ces pêcheries dessinent dans la grève de vastes paysages.
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Les marines éphémères
À chaque marée, l’estran révèle aux pêcheurs leur écot, aux oiseaux une aire de jeux et à la contemplation ses paysages d’infinitude.
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Jardin secret
Un herbier, glané en chemin… On les dit folles, indésirables, envahissantes, voire même mauvaises… Les herbes vagabondent dans le vent : parure légère des ombellifères, cœur gros des pavots, chorégraphie de graminées et pointe ingénue des cactées.
De la forêt à l’enclos ; de la lande à la mer, et au-delà… Entre ombre et lumière, chaque végétal devient paysage : simplicité, élégance.
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Dédicaces
ou l’imaginaire au grand air !
Les photographies de la collection Dédicaces constituent une mosaïque d’instants authentiques. A la lecture du tirage, le titre se place, en résonance, telle une évidence. La dédicace, quant à elle, se pose comme un sourire au rebond de la mémoire.
La collection est organisée en séries : « Danses », « Lires de lune », « Galaxies », « Z’oeufs » et « Le potager du Roi ».
